jeudi 4 avril 2019

Les symboles de la République française

Nouveauté sur le blog, je débute une rubrique qui contiendra uniquement des illustrations que j'ai réalisé et que j'utilise avec ma classe de CM2. 
Elles sont nées de l'envie de créer des affichages reprenant des notions vues (ou à aborder) et facilement mémorisables grâce aux visuels que j'ai pris plaisir à dessiner. 
J'espère donc que vous vous les approprierez facilement en tant qu'enseignants et qu'en tant que parents, ils vous seront aussi utiles quand vous travaillez avec vos enfants. Quand on demande aux élèves de préparer une recherche chez eux, ils manquent souvent de ressources facilement exploitables, je trouve. 

Ce premier affichage est donc constitué de cinq vignettes à imprimer et à éventuellement plastifier. Il illustre les symboles de la République française dont les origines sont souvent méconnues des élèves et constituent notre histoire nationale. Il suffit de cliquer sur les mots clés sous chaque image pour pouvoir les télécharger. 
J'attends vos retours ! 
A bientôt ! 








mardi 19 mars 2019

Macarons au chocolat inratables !

Aujourd'hui, c'est une nouvelle recette de macarons que je vous propose. Je me suis servie d'une recette du blog https://www.hervecuisine.com pour les dosages et j'ai de nouveau utilisé le livre Macarons de Natacha Arnoult aux éditions Solar, collection "mini gourmands" pour les étapes de confection des macarons extrêmement bien expliquées.

Avec le matériel adéquat et une certaine patience, vous aurez toutes les chances de réussir vos macarons si vous suivez consciencieusement cette recette. 
Pour avoir fait d'autres tentatives au préalable, j'ai pu me rendre compte qu'il ne faut absolument pas être dans l'approximation. Il faut suivre les étapes méticuleusement. Autant vous dire qu'il vous faudra probablement un petit peu d'entrainement si c'est la première fois que vous réalisez des macarons. Par contre, je peux vous assurer que si vous respectez bien les dosages, il n'y aura pas de coques craquelées et la cuisson sera parfaite. Quant au goût chocolaté de la coque combinée à la généreuse ganache, un délice ! 
Matériel nécessaire : 
- une balance électronique 
- un tamis 
- un tapis en silicone avec des ronds déjà dessinés (diamètre des ronds : 3 cm) 
- un batteur 
- un four à chaleur tournante 
- une spatule 
- une poche à douille format 8 mm 
- un fouet 

Ingrédients pour une quinzaine de macarons
Pour les coques : 
- 150 g de sucre glace
- 90 g de poudre d'amandes
- 15 g de cacao en poudre
- 2 blancs d'oeuf (75 g)
- 10 g de sucre en poudre. 

Pour la ganache au chocolat
- 100 g de chocolat noir à pâtisser
- 10 cl de crème liquide
- 20 g de beurre. 

Préparer les coques : 
Passez les amandes en poudre au tamis puis pesez-les de nouveau. Même chose pour le sucre glace et le cacao. Mélangez amandes en poudre, sucre et cacao.
Montez les blancs en neige ferme, ajoutez le sucre en poudre et continuez de battre pendant 2 minutes, jusqu'à ce que le mélange soit lisse et brillant. 
IMPORTANT : Versez le mélange sucre-amandes sur les blancs en neige (et surtout pas l'inverse), puis incorporez-les à la spatule souple en soulevant la pâte pour qu'elle forme un ruban. 

Confection des coques : 
Transférez la préparation dans une poche munie d'une douille ronde et dressez les macarons sur le tapis en silicone posé sur une plaque (lèche-frites). 
Laissez crouter pendant 30 minutes à l'air libre.
Préparer la ganache au chocolat : 
Réalisez la ganache en faisant chauffer la crème et en la versant sur le chocolat en morceaux. Mixer, puis rajouter le beurre, mixer à nouveau et réserver au frais.

La cuisson :
Préchauffez le four à 150 °C (th 5). 
Faites cuire les macarons 15 minutes. 
Retirez du four et laissez refroidir avant de les décoller délicatement. Les coques sont lisses et fermes, une belle collerette s'est formée tout autour.

Confection des macarons :
Remplir la douille avec la ganache et garnir la moitié des coques. 
Recouvrez avec les coques restantes.

Réservez vos macarons au frais dans une boite hermétique une nuit avant de les déguster fondants le lendemain. L'attente en vaut la peine ! 

vendredi 8 mars 2019

Réussir chez soi des macarons de pro

En ce moment, j'ai envie de nouveaux challenges culinaires alors je me suis plongée dans mes livres de cuisine, j'ai aussi parcouru quelques blogs. 
Et soudain, en tombant sur un petit livre qu'on m'avait offert il y a longtemps (Macarons de Natacha Arnoult aux éditions Solar, collection "mini gourmands"), j'ai décidé de m'attaquer à un monument de la pâtisserie française : le macaron ! 
Je me suis donc servi d'une des recettes donnée dans le livre (avec quelques ajustements) et je me suis achetée les outils nécessaires pour la réussir. 
Pour avoir fait d'autres tentatives au préalable, j'ai pu me rendre compte qu'il ne faut absolument pas être dans l'approximation quand on réalise ce genre de recettes. Il faut suivre les étapes  méticuleusement. Autant vous dire qu'il vous faudra probablement un petit peu d'entrainement si c'est la première fois que vous réalisez des macarons. Par contre, je peux vous assurer que si vous respectez bien les dosages, il n'y aura pas de coques craquelées et la cuisson sera parfaite. 

Matériel nécessaire
- une balance électronique 
- un tamis 
- un tapis en silicone avec des ronds déjà dessinés (diamètre des ronds : 3 cm) 
- un batteur 
- un four à chaleur tournante 
- une spatule 
- une poche à douille format 8 mm 
- un fouet 

Ingrédients pour une quinzaine de macarons (il vaut mieux commencer à gérer des petites quantités d'ingrédients) 
Pour les coques
- 50 g de blancs d'oeufs
- 62 g d'amande en poudre 
- 112 g de sucre glace 
- 12 g de sucre en poudre 
- Quelques gouttes de colorant (selon la couleur que vous souhaitez donner à vos coques) 

Pour la crème à la pistache
- 1 jaune d'oeuf 
- 10 g de beurre 
- 5 cl de crème liquide 
- 1/2 cuillère à soupe de sucre 
- 12 g de pistaches broyées non salées avec 12 g de sucre 
- 1 goutte de colorant jaune + 1 goutte de colorant bleu (pour avoir une ganache bien verte) 

Préparer la crème à la pistache : 
Faites chauffer la crème liquide avec les pistaches broyées. 
Fouettez ensemble le jaune d'oeuf et le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse (le jaune d'oeuf ne devient pas blanc mais il "mousse"). 
Ajoutez-y la crème à la pistache. 
Reversez dans la casserole et faites épaissir sur feux doux sans cesser de mélanger avec le fouet. 
Retirez du feu et incorporez le beurre. 
Laissez refroidir et réservez au frais. 

Préparer les coques
Passez les amandes en poudre au tamis puis pesez-les de nouveau. Même chose pour le sucre glace. Mélangez les pour obtenir un mélange fin et sec. 
Montez les blancs en neige ferme, ajoutez le sucre en poudre et continuez de battre pendant 2 minutes, jusqu'à ce que le mélange soit lisse et brillant. 
IMPORTANT : Versez le mélange sucre-amandes sur les blancs en neige, puis incorporez-les à la spatule souple en soulevant la pâte pour qu'elle forme un ruban. 

Confection des coques : 
Transférez la préparation dans une poche munie d'une douille ronde et dressez les macarons sur le tapis en silicone posé sur une plaque (lèche-frites). 
Laissez crouter pendant 30 minutes à l'air libre. 

La cuisson :
Préchauffez le four à 150 °C (th 5). 
Faites cuire les macarons 12 minutes. 
Retirez du four et laissez refroidir avant de les décoller délicatement. Les coques sont lisses et fermes, une belle collerette s'est formée tout autour. 
Confection des macarons :
Remplir la douille avec la ganache et garnir la moitié des coques. 
Recouvrez avec les coques restantes. 
Réservez au frais (dans une boite hermétique et tous à plat) une nuit pour pouvoir les déguster fondants le lendemain. 
Vous m'en direz des nouvelles ! 


lundi 14 janvier 2019

Filet-O-Fish Maison


Aujourd'hui, je vous propose une recette extrêmement simple et rapide à concocter : un excellent burger au cabillaud pané et sa sauce tartare légère. 
Je me suis largement inspirée de la sauce du filet-o-fish du Mc Donald's dont je voulais apprécier toutes les saveurs dans une version "healthy" (et parfaite pour les femmes enceintes). 

Pour commencer, on achète ses filets de cabillaud frais, c'est l'idéal pour les faire frire. Préférez-les congelés quand vous souhaitez les cuire à la vapeur. 

La double panure se réalise simplement. On trempe le poisson dans les oeufs battus (3 oeufs pour 3
00 g de poisson, sel et poivre, herbes si vous le souhaitez), puis on roule les filets dans la panure. On les dispose sur un plat, une fois qu'ils sont tous prêts, on recommence : on les trempe de nouveau dans les oeufs et la panure. 
Cela forme une panure bien épaisse qui fera que vos filets, même s'ils sont de petite taille, se tiendront bien dans la poêle au moment de frire. 
Il est temps de faire chauffer de l'huile de tournesol (1/3 de la poêle doit être rempli), la moitié du poisson doit être immergé dans l'huile. 
L'huile étant bien chaude, on les plonge dedans et on couvre. 
Cuisson : 5 minutes de chaque coté. Ils doivent être bien dorés. Attention à surveiller la cuisson car ils peuvent facile brûler. 
On les sort et on les étale sur du papier absorbable pour enlever l'excès de gras. 

La sauce se prépare en quelques minutes : 
On ajoute dans un pot de yaourt à la grecque (au lieu de la traditionnelle mayonnaise), ces ingrédients préalablement hachés : 3 cornichons (aigre-doux), un quart d'oignon jaune, ciboulette, persil et aneth, sel et poivre, une lichette de jus de citron. 

Avec un pain à burger brioché (donc sucré), il y a un joli mariage des saveurs avec l'acidité de la sauce tartare. 

Dites-m'en des nouvelles ! 
Bon appétit 😸

lundi 29 octobre 2018

Avoir un balcon (ou un jardin) coloré en hiver, c’est possible !

L’hiver arrive à grands pas, les jolies couleurs de l’automne ont fait place à un décor beaucoup plus monotone. Durant la période estivale, on avait l’embarras du choix pour planter allègrement fleurs, fruits, légumes, herbes aromatiques. Maintenant que l’ensoleillement est réduit et que les températures baissent, on constate que les plantes rentrent en phase d’hibernation et notre balcon (ou jardin) se fait de plus en plus tristounet. 
Et bien, halte à la morosité ambiante ! Redonnons à nos jardins des couleurs ! En effet, il y a des plantes qui survivent très bien en hiver, qui ne craignent pas le gel, qui restent fleuries malgré la rudesse du froid. Le tout est de bien savoir les choisir : MODE D’EMPLOI. 

Commençons par les fleurs et plantes qui conservent leurs couleurs chatoyantes. 

★ LA BRUYERE D’HIVER (Erica Carnea)
Proposée dans un nombre inombrable de teintes, elle comblera vos pupilles et donnera une touche festive à votre balcon. 
-       Elle conserve ses belles couleurs jusqu’au printemps (floraison de novembre à mai, selon les variétés). 
-       Parfaite complice des cyclamenset du cinéraire maritime.
-       Ayant une croissance lente, elle peut passer plusieurs années dans une jardinière de 20 cm. 
-       Peu exigente en terme d’arrosage et ne craignant pas le gel, elle n’a qu’un seul ennemi : l’humidité stagnante. 
-       Comme toutes les bruyères, l’Erica Carnea apprécie une exposition mi-ombragée. 

★ LES BULBEUSES : Cyclamen Coum et perce-neige 
La première possède une floraison de très longue durée, plante rustique, elle résiste aux grands froids (jusqu’à -15°C) et n’a pas son pareil pour égayer le ciel ombrageux de l’hiver. Elle se vend sous forme de plant ou de tubercule (à cette période de l’année, préférez le plant). 
Elle ne demande quasiment aucun entretien mais en été (après la disparition complète du feuillage), lorsque le cyclamen est en phase de repos, veuillez à ne pas laisser le substrat complètement sec. 

Quant au perce-neige (au crocus et aux narcisses), vous pourrez apprécier une floraison plus tardive (vers la fin de l’hiver : entre janvier et mars, selon votre climat). Cette plante rustique a besoin du froid hivernal pour pouvoir fleurir. Plantez les bulbes dès maintenant à 8 cm de profondeur en les espaçant de 7 à 8 cm les uns des autres, vous aurez la joie de contempler leur poésie immaculée.  
★ LA PENSEE ET LA VIOLA CORNUTA, LA PRIMEVERE 

Ces jolies petites fleurs s’achètent en plants et s’installent au cœur de l’automne. Elles fleurissent sans discontinuer d’octobre à juin ! Vous n’aurez que l’embarras du choix en terme de couleurs. 
-       Elles se plaisent au soleil ou à la mi-ombre. 
-       Leur entretien est minime en jardin mais si vous les cultivez en pot, en l’absence de pluie, un arrosage parcimonieux est nécessaire. Supprimez aussi les fleurs fanées au fur et à mesure pour « booster » la floraison. 

Achetée en godet et plantée en automne, la primevère fleurit tout au long de l’hiver, préfère la mi-ombre et comme pour la pensée (ou la viola cornuta), en cas de sécheresse prolongée, il sera nécessaire d’arroser. 

★ L’HELLEBORE (Rose de Noël) 

Il vaut mieux se procurer un spécimen déjà bien développé avec des boutons car si vous achetez des plants, ils ne fleuriront pas avant la deuxième année. Il est préférable de lui dédier un gros pot dans lequel elle pourra pleinement se développer au cours des années. 
Coupez systématiquement ce qui est fané pour entretenir une belle floraison. 

Cette liste n’est pas exhaustive, elle correspond à mes goûts et préférences et à une pratique du jardinage qui n’est pas chronophage ! 

Cultivez bien ! 

dimanche 28 octobre 2018

Quels légumes consommer en novembre ?

Aujourd'hui, je vous montre aujourd’hui la finalité d’un travail de longue haleine. Effectivement, cela fait un petit moment que je planche sur mon premier calendrier des légumes de saison. C’est dire si j’aime illustrer tout ce qui a trait à la nature mais je souhaite  aussi que les illustrations que je réalise puissent vous être utiles tout en décorant joyeusement votre intérieur. 
Sur cette première page de Novembre, la liste de légumes donnée n’est pas exhaustive mais vous avez de quoi y piocher les légumes de saison indispensables à la réalisation de vos recettes. Il est bon de se rappeler à quel point il est nécessaire d’acheter et de consommer tout au long de l’année des légumes de saison. 

 En effet, les légumes (et fruits) de saison ont pris le temps de mûrir et sont d’autant plus savoureux. Ils n’ont pas subi un long transport synonyme de consommation excessive de carburant qui se répercute aussi sur le prix de l’aliment vendu. 
 Moins de produits phytosanitaires ont été utilisés pour leur culture. Hors saison, le légume sous serre est aspergé de pesticides pour l’aider à pousser et compenser le manque de soleil et de nutriments dans le sol. 
Votre légume peut aussi venir d’un pays où les produits phytosanitaires ne sont pas aussi règlementés qu’en France. Il est maintenant avéré que les pesticides ont un impact sur notre santé et que leur présence dans les nappes phréatiques se répercute sur toute l’écologie locale. 
 Enfin, il faut savoir que la nature est bien faite, elle nous offre au bon moment ce dont nous avons besoin mais selon le pays dans lequel on se trouve, on ne pourra bénéficier de la vitamine C présente dans les agrumes (et indispensable en hiver) qu’en achetant des fruits importés. En été, notre organisme dépense moins de calories mais réclame plus d’eau. Ainsi, les fruits et légumes de saison en sont gorgés : melon, salade, courgettes, tomates, fruits rouges… 

Vous trouverez l’illustration de Novembre en vente sur ma boutique : https://www.etsy.com/fr/shop/Brigitteillustration?ref=shop_sugg

Comme les autres produits disponibles, l’impression est de qualité professionnelle ainsi que le papier utilisé. Je prends le plus grand soin à préparer vos colis et à les expédier le plus rapidement possible. 
Je fais en sorte que vous disposiez au plus vite de la page des légumes de Décembre sur la boutique, je sais que certains d’entre vous ont déjà commencé la préparation des cadeaux de Noël !  

mardi 23 octobre 2018

Cinq plantes faciles à vivre


Ça y est, l’automne est bien là ! On ressent la fraicheur matinale au moment de sortir de chez soi, on observe l’obscurité grignoter le jour. On a tendance à passer plus de temps à l’intérieur et logiquement, on souhaite rendre son cocon le plus agréable possible.C’est là que les plantes ont toute leur place !
La grande variété de plantes existant embellit notre quotidien, décore à peu de frais notre chez-nous et qu’il est gratifiant de les voir grandir et se développer ! 
Ce n’est pas faute d’avoir essayé mais toutes vos expériences sont restées infructueuses ? Vous n’avez pas osé franchir le pas considérant que vous n’avez pas la main verte ? 
Voici un guide des cinq plantes qui me semblent être parmi les plus faciles à vivre. Malgré des changements de pots, d’emplacements, l’absence d’engrais (je n’en suis pas une adepte), un entretien au gré des fluctuations de ma vie, elles sont toujours vaillantes et bien portantes. Elles ont maintenant une longévité qui va de cinq à dix ans pour certaines. Elles ont été achetées à Truffaut, Franprix, Monoprix ou Ikea. Sans pour autant faire la démarche d’aller dans une jardinerie, il suffit d’être alertes quand on va faire ses courses et dénicher une de ces petites merveilles dans un recoin oublié. Alors, n’hésitez pas, cultivez votre jardin intérieur ! 

Originaire d’Amérique du Sud. 
Son look : 
-       Plante imposante à grandes feuilles vertes à revers pourpre. Selon les espèces, elles offrent des motifs contrastés extrêmement décoratifs comme peints à la main.Vous serez surpris de voir bouger les feuilles au gré de la luminosité ambiante. 

Son mode de vie : 
-       Une lumière tamisée et jamais d’exposition directe au soleil. 
-       Un arrosage parcimonieux uniquement quand la terre est sèche (de temps en temps, il suffit de tâter du doigt la terre) vaut mieux qu’un arrosage trop abondant et de l’eau stagnante dans la soucoupe. Selon la température dans la pièce, un arrosage hebdomadaire en hiver et deux fois par semaine en été suffisent. 
-       Si vous oubliez de l’arroser et qu’une feuille se dessèche, il suffit de couper la tige à la base pour qu’elle repousse de plus belle. 

Originaire des forêts tropicales d’Amérique du Sud. 
Son look : 
-       Petite plante rampante et retombante au feuillage décoratif composé de petites feuilles ovales nervurées de rose.
Son mode de vie : 
-       Une lumière tamisée et jamais d’exposition directe au soleil.
-       Même type d’arrosage que pour le Calathea. 

Originaire des régions désertiques d’Afrique. 
Son look : 
-       Plante succulente aux feuilles élancées, épaisses et pointues. Selon la luminosité dont elle bénéficie, son feuillage (marbré, strié ou panaché) sera plus ou moins clair

Son mode de vie : 
-       De la luminosité mais pas d’exposition directe au soleil. 
-       Réputée pour être « increvable », un arrosage hebdomadaire suffit. C’est une véritable « plante chameau » qui résiste au manque d’eau et comme toutes les succulentes ne survit pas à l’excès d’eau. 

Originaire des régions semi-arides d’Afrique du Sud. 
Son look : 
-       Plante grasse retombante aux longues lianes fines ponctuées de petites feuilles vertes tachetées de gris au dos violine (en forme de cœurs). 
Son mode de vie : 
-       De la luminosité, autant que possible. 
-       Un arrosage parcimonieux quand la terre est sèche (une à deux fois tous les quinze jours par exemple). La plante forme des tubercules en terre et sur les tiges qui lui servent de réserves d’eau en cas de coup dur. Des oublis d’arrosage auront donc moins d’impact qu’un arrosage excessif qui provoquerait le pourrissement des feuilles à la surface du pot. 

Originaire du Nord Est du Brésil. 
Son look : 
-       Plante succulente cactiforme de couleur bleue menthe grisée aux aiguilles jaunes. 
Son mode de vie : 
-       De la luminosité, autant de possible. 
-       Arrosage modéré entre avril et septembre, quand on y pense. Pas d’arrosage l’hiver.